Lart in situ et les plateformes numériques la révolution que vous ne verrez pas venir

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A diverse group of city dwellers, including a family, fully clothed in modest, appropriate attire, gathered in a beautiful Parisian public park at dusk. They are captivated, observing vibrant augmented reality art, visible as magical, ethereal light sculptures and mythological creatures appearing to float among the trees and historic architecture through their smartphone screens. The scene captures wonder and connection, with soft, ambient lighting. Professional photography, high quality, safe for work, appropriate content, fully clothed, family-friendly, perfect anatomy, correct proportions, natural pose, well-formed hands, proper finger count, natural body proportions.

Qui n’a jamais rêvé de voir l’art jaillir des murs de la ville, ou de découvrir une œuvre cachée au détour d’une ruelle familière ? Longtemps confiné aux galeries et aux musées, l’art enraciné dans des lieux spécifiques prend aujourd’hui une dimension inédite grâce au pouvoir des plateformes numériques.

Récemment, j’ai eu la chance de tomber sur une installation éphémère à l’aide d’une application de réalité augmentée, directement dans un parc parisien que je fréquente : l’expérience était absolument bluffante, fusionnant le tangible et le virtuel de manière si fluide que j’en suis resté(e) pantois(se).

Cette synergie entre l’art *in situ* et les technologies de géolocalisation ou la réalité augmentée n’est pas qu’une simple mode ; c’est une véritable révolution, une invitation à revoir notre interaction avec l’espace public.

Les artistes repoussent les frontières, créant des parcours immersifs qui transforment nos villes en galeries à ciel ouvert, accessibles à tous via un simple smartphone.

C’est fascinant de voir comment ces outils démocratisent l’accès à la culture, rendant l’art plus vivant, plus immédiat et intrinsèquement lié à notre quotidien.

C’est un mouvement qui augure de profonds changements dans le paysage artistique de demain, offrant des possibilités infinies de découvertes inattendues.

Je me suis posé la question : est-ce le futur de l’art ? Comment ces technologies vont-elles continuer à modeler nos expériences culturelles ? On parle déjà d’intégration de l’IA pour des œuvres génératives géolocalisées, ou de l’utilisation des NFT pour certifier des installations éphémères dans l’espace public, ajoutant une couche de valeur et de traçabilité.

Ces évolutions promettent une nouvelle ère pour l’art et son public. Préparons-nous à plonger au cœur de ces innovations qui transforment déjà notre rapport à l’art et à l’espace public.

Je vous assure que vous allez découvrir des perspectives fascinantes.

L’Éveil des Sens en Ville : Quand le Numérique Sublime l’Expérience Urbaine

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Le monde est en constante mutation, et avec lui, notre façon d’interagir avec l’art. J’ai toujours été fascinée par l’idée que l’art puisse exister hors des murs sacrés des musées, qu’il puisse respirer au même rythme que nos villes, se mêler à la vie quotidienne.

Et je dois dire que les avancées numériques actuelles rendent cette vision plus palpable que jamais. Il y a quelques mois, lors d’une balade habituelle le long des quais de Seine, mon attention a été captivée par une installation artistique via mon téléphone.

Ce n’était pas un simple graffiti ou une sculpture figée, mais une œuvre interactive qui se révélait uniquement à travers l’écran de mon smartphone, fusionnant le tangible et le virtuel.

C’était une expérience tellement immersive que j’en ai eu des frissons. Je me suis sentie transportée, connectée à l’œuvre d’une manière que je n’avais jamais ressentie auparavant.

L’art ne se contente plus d’être statique ; il devient dynamique, réactif, vivant. C’est comme si la ville elle-même devenait la toile, et chaque recoin, une nouvelle exposition potentielle.

J’ai vraiment pris conscience de la profondeur de cette transformation.

1. La Réalité Augmentée : Une Fenêtre sur un Autre Monde Artistique

Ce qui m’a le plus impressionnée, c’est la fluidité avec laquelle la réalité augmentée (RA) parvient à intégrer des éléments virtuels dans notre environnement réel.

Ce n’est plus de la science-fiction, mais une technologie que tout un chacun peut utiliser pour découvrir des œuvres éphémères ou des installations permanentes qui se transforment sous nos yeux.

Pensez à une sculpture qui prend vie, se met à bouger, à changer de couleur ou même à interagir avec le passant. J’ai récemment découvert une série d’œuvres cachées dans le Jardin du Luxembourg, où des créatures mythologiques prenaient forme sur les arbres grâce à une simple application.

C’était magique. Cette capacité à superposer des couches artistiques sur notre quotidien donne une nouvelle dimension à la flânerie urbaine. C’est une chasse au trésor artistique permanente, et croyez-moi, une fois que vous l’avez essayée, vous regarderez votre ville d’un œil complètement différent, cherchant la prochaine merveille cachée.

2. L’Art comme Expérience Collective et Personnalisée

Le paradoxe fascinant de l’art numérique in situ est qu’il offre à la fois une expérience profondément personnelle et un potentiel de partage collectif.

On peut se retrouver seul face à une œuvre, la découvrir à son propre rythme, se laisser imprégner par son message. Mais simultanément, ces découvertes peuvent être partagées instantanément sur les réseaux sociaux, créant une communauté autour d’une œuvre ou d’un artiste.

J’ai vu des groupes d’amis explorer des quartiers entiers, smartphone à la main, pour découvrir toutes les installations d’un festival d’art urbain numérique.

C’est cette dualité, cette capacité à vivre une émotion intime tout en la partageant avec le monde, qui rend cette forme d’art si puissante. C’est un mouvement qui unit les passionnés et éveille la curiosité des néophytes, faisant de l’art une conversation continue et évolutive.

Au-delà de la Galerie : Démocratiser l’Art grâce aux Outils Connectés

L’un des plus grands défis de l’art traditionnel est son accessibilité. Les musées, malgré leurs efforts louables, peuvent parfois intimider, et l’art contemporain peut sembler réservé à une élite.

Mais ce que j’ai constaté avec l’essor de l’art in situ numérique, c’est une véritable démocratisation. Il n’y a pas de billets à acheter, pas d’horaires d’ouverture, pas de codes implicites à décrypter.

L’art se déverse dans la rue, sur les places, dans les parcs, et il est là, disponible pour quiconque possède un smartphone. Cette omniprésence change radicalement la donne.

J’ai vu des familles entières, des adolescents, des personnes âgées, tous se connecter à ces œuvres d’une manière simple et intuitive. C’est comme si l’art était enfin revenu à ses racines populaires, se réappropriant l’espace public pour toucher un public beaucoup plus vaste et diversifié.

Cette approche brise les barrières culturelles et sociales, rendant l’art plus pertinent pour la vie de chacun.

1. Briser les Codes : Quand la Rue Devient Notre Galerie

Qui aurait cru il y a quelques années que notre téléphone deviendrait une clé d’accès à des expositions d’art à ciel ouvert ? C’est une révolution silencieuse mais profonde.

L’art quitte les espaces clos pour s’inviter dans nos trajets quotidiens. J’ai eu l’occasion de suivre un parcours artistique dans le quartier du Marais, où des œuvres numériques apparaissaient sur des façades d’immeubles historiques.

C’était fascinant de voir comment l’histoire et la modernité dialoguaient. L’art urbain traditionnel, comme le graffiti ou le street art, a toujours eu cette force brute de s’imposer.

Mais avec le numérique, il acquiert une nouvelle dimension : il peut être éphémère et se renouveler, ou même interagir avec le mouvement des passants.

Plus besoin d’être un connaisseur d’art pour apprécier ; il suffit d’être curieux et d’avoir un téléphone.

2. Éducation et Engagement : Un Nouveau Public pour les Artistes

Cette démocratisation a un effet boule de neige sur l’éducation artistique. En rendant l’art plus accessible et interactif, les plateformes numériques suscitent un intérêt qui dépasse largement le cercle habituel des amateurs d’art.

J’ai rencontré des jeunes qui, grâce à une application de découverte d’œuvres géolocalisées, ont commencé à s’intéresser à l’histoire de l’art et à explorer des artistes qu’ils n’auraient jamais découverts autrement.

Cette approche ludique et immersive est un puissant levier d’engagement. Elle crée des dialogues inattendus, incite à la recherche, et pousse le public à devenir plus actif dans sa consommation culturelle.

C’est une aubaine pour les artistes qui peuvent toucher une audience mondiale sans les contraintes des circuits traditionnels.

Cartographier l’Invisible : Les Plateformes de Géolocalisation, Guides de nos Aventures Artistiques

Sans les plateformes de géolocalisation et les applications dédiées, l’art numérique in situ resterait un concept abstrait. Ce sont elles qui agissent comme de véritables boussoles, nous guidant vers ces trésors cachés dans le tissu urbain.

Je me souviens de ma première expérience avec une application qui m’indiquait des “points d’intérêt artistique” autour de moi. Au début, j’étais sceptique, me demandant ce que je pouvais bien y trouver.

Mais très vite, j’ai réalisé la puissance de ces outils. Ils transforment n’importe quel quartier en un immense musée interactif, où chaque coin de rue peut révéler une surprise.

C’est un peu comme avoir un commissaire d’exposition personnel dans sa poche, capable de vous révéler des œuvres d’art qui seraient autrement invisibles à l’œil nu.

Ces applications ne se contentent pas de nous localiser ; elles nous immergent, nous informent et nous connectent aux histoires derrière chaque œuvre.

1. Applications Mobiles : Vos Yeux sur le Monde de l’Art In Situ

Les applications comme Artivive, Street Art Cities, ou même des initiatives locales spécifiques, sont devenues des incontournables pour quiconque souhaite explorer l’art urbain et numérique.

Elles ne se limitent pas à une simple carte ; elles offrent souvent des informations contextuelles sur l’artiste, le processus de création, et l’histoire du lieu.

J’ai utilisé une application similaire lors d’un séjour à Lyon, qui m’a permis de découvrir des fresques murales et des installations lumineuses que j’aurais complètement manquées.

La fonction de réalité augmentée est souvent la plus bluffante : pointer son téléphone vers un mur et voir une animation complexe apparaître ou une sculpture virtuelle prendre forme, c’est une sensation incroyable.

C’est une technologie qui rend l’invisible visible, et l’éphémère permanent, du moins le temps d’un regard.

2. L’Interaction au Cœur de l’Expérience : Bien Plus Qu’une Simple Carte

Ces plateformes ne sont pas passives. Elles encouragent l’interaction, que ce soit en demandant aux utilisateurs de laisser des commentaires, de partager leurs propres découvertes, ou même de participer à la création d’œuvres collaboratives.

Certains projets intègrent des jeux de piste ou des défis, transformant l’exploration artistique en une aventure ludique. J’ai participé à un projet où nous devions résoudre des énigmes dispersées dans Paris pour débloquer des parties d’une œuvre d’art numérique.

C’était stimulant, et cela m’a fait explorer des recoins de la ville que je ne connaissais pas. C’est cette dimension participative qui enrichit l’expérience et crée un véritable sentiment d’appartenance à une communauté artistique connectée.

Le Rôle Crucial des Artistes : Pionniers d’une Nouvelle Ère Créative Connectée

Les artistes ont toujours été à l’avant-garde du changement, expérimentant de nouvelles formes, de nouveaux médiums. Mais l’ère numérique les pousse encore plus loin, les transformant en véritables architectes d’expériences.

Ils ne se contentent plus de peindre sur une toile ou de sculpter une pierre ; ils codent, ils modélisent en 3D, ils créent des univers immersifs qui défient les frontières du réel.

J’ai eu la chance de rencontrer plusieurs artistes qui embrassent ces nouvelles technologies, et leur passion est contagieuse. Ils voient le monde comme un terrain de jeu infini, une toile géante où chaque espace peut être transformé en une œuvre d’art dynamique.

Leur vision est audacieuse, et leur capacité à fusionner l’art avec la technologie est tout simplement époustouflante.

1. De Nouveaux Médiums, De Nouvelles Expressions

L’arrivée de la réalité augmentée, de la projection mapping, ou même de l’IA générative a ouvert des horizons artistiques inimaginables il y a encore quelques décennies.

Les artistes explorent des formes d’expression qui n’existaient pas auparavant. Ils peuvent créer des installations qui se métamorphosent en fonction de l’heure de la journée, de la météo, ou même des mouvements du public.

Imaginez une fresque murale qui s’anime la nuit, racontant une histoire différente à chaque coucher de soleil. C’est ce que j’ai vu à Nantes, lors d’un festival d’art numérique, et ça m’a laissée bouche bée.

Les artistes ne sont plus limités par la matérialité de l’œuvre ; leur imagination est la seule frontière.

2. Collaborations Inédites et Transdisciplinarité

Cette nouvelle ère encourage également les collaborations inattendues entre artistes et technologues. Des créateurs visuels s’associent à des développeurs de jeux vidéo, des architectes travaillent avec des sound designers.

Ces équipes multidisciplinaires sont à l’origine d’œuvres hybrides, complexes et incroyablement innovantes. J’ai suivi le processus de création d’une œuvre interactive qui utilisait des capteurs de mouvement pour réagir aux passants, une véritable prouesse technique et artistique.

Cette transdisciplinarité est une source d’enrichissement mutuel, repoussant les limites de ce qui est possible et créant des œuvres qui résonnent avec notre époque numérique.

Monétisation et Durabilité : Comment l’Art Numérique In Situ Trouve son Modèle Économique

Une question revient souvent : comment ces formes d’art nouvelles, souvent éphémères et accessibles gratuitement dans l’espace public, peuvent-elles être économiquement viables pour les artistes ?

C’est une préoccupation légitime, et j’ai été ravie de voir que de nombreux modèles émergent pour soutenir cette effervescence créative. Ce n’est pas parce que l’art est accessible qu’il doit être sans valeur.

Au contraire, sa visibilité et son impact culturel peuvent ouvrir des portes vers de nouvelles sources de revenus et de financement. Je crois fermement que le soutien aux artistes est primordial pour que ces expériences continuent à enrichir nos villes.

1. Les Modèles Économiques Émergents pour l’Art Numérique In Situ

Plusieurs pistes sont explorées pour assurer la durabilité de l’art numérique in situ. Les subventions publiques et les mécénats d’entreprise jouent un rôle clé, finançant des festivals ou des installations à grande échelle.

Mais il y a aussi des modèles plus innovants. Les artistes peuvent proposer des versions “premium” de leurs applications, offrir des contenus exclusifs, ou vendre des éditions limitées de leurs œuvres numériques sous forme de NFT (Non-Fungible Tokens).

J’ai vu un artiste vendre des “parcelles virtuelles” de ses installations éphémères dans des lieux réels, offrant aux collectionneurs une propriété numérique unique associée à une expérience physique.

C’est une nouvelle façon de créer de la valeur et de soutenir la création.

Modèle de Monétisation Description Avantages Défis
Subventions & Mécénat Financements publics et privés pour projets artistiques. Stabilité, financement de projets ambitieux. Dépendance, processus de demande complexe.
NFT (Non-Fungible Tokens) Vente de certificats de propriété numérique uniques pour des œuvres. Nouvelle source de revenus, traçabilité, marché mondial. Volatilité du marché, compréhension technologique.
Applications Premium / In-App Purchases Accès payant à des contenus exclusifs ou fonctionnalités avancées via l’application. Revenus directs des utilisateurs, engagement. Besoin d’une forte proposition de valeur.
Commandes Publiques / Privées Création d’œuvres spécifiques pour des villes, entreprises, ou événements. Revenus garantis, grande visibilité. Contraintes de cahier des charges, délais.

2. NFT : Certifier l’Éphémère et Valoriser le Créateur

La technologie des NFT est particulièrement pertinente pour l’art numérique in situ, qui est souvent éphémère. Comment certifier la propriété ou l’authenticité d’une œuvre qui n’existe que pour un temps limité ou qui se manifeste numériquement dans un lieu spécifique ?

Les NFT offrent une solution élégante. Ils permettent aux artistes de créer une rareté numérique pour des œuvres qui seraient autrement non reproductibles ou impossibles à posséder physiquement.

Cela ouvre un marché secondaire et offre aux collectionneurs une nouvelle façon d’investir dans l’art, tout en rémunérant directement les artistes à chaque revente.

C’est un modèle qui me semble prometteur pour l’avenir de l’art numérique.

Immersion et Résonance : L’Impact Profond de l’Art Éphémère sur Notre Quotidien

Au-delà des aspects technologiques et économiques, ce qui me touche le plus dans l’art numérique in situ, c’est son impact émotionnel et social. Ces œuvres, souvent éphémères par nature, laissent une trace durable dans notre mémoire.

J’ai eu la chance d’assister à une installation lumineuse qui transformait une place parisienne en une forêt enchantée après la tombée de la nuit. C’était une expérience collective, des centaines de personnes partageant le même moment de stupéfaction et de joie.

Ces moments fugaces créent des souvenirs puissants et renforcent notre lien avec l’espace urbain. Elles nous rappellent que la beauté peut surgir de l’ordinaire, transformant notre quotidien en une succession de découvertes magiques.

1. Les Émotions au Rendez-vous : Une Connexion Inattendue avec l’Espace

L’art numérique in situ a cette capacité unique de provoquer des émotions intenses et immédiates. La surprise de découvrir une œuvre cachée, l’émerveillement face à une projection monumentale, la joie de l’interaction avec une installation ludique…

Ces expériences sont profondément humaines. J’ai personnellement ressenti une vague de nostalgie en voyant une œuvre de réalité augmentée recréer des bâtiments historiques disparus dans le quartier des Halles.

C’était une plongée dans le passé, une façon de revisiter l’histoire de la ville d’une manière totalement nouvelle. Cet art nous pousse à observer notre environnement avec plus d’attention, à percevoir les couches invisibles qui le composent, et à nous connecter émotionnellement à ces lieux.

2. Créer du Lien Social et Animer les Villes

Ces installations ne sont pas seulement belles ; elles sont aussi des catalyseurs de lien social. Elles attirent les foules, incitent à la conversation, et créent des points de rencontre inattendus.

Les festivals d’art numérique transforment des quartiers entiers en véritables centres d’activités, animant des espaces qui, autrement, pourraient être négligés.

J’ai vu des enfants courir et rire autour d’installations interactives, des adultes échanger leurs impressions, des photographes capturer la magie de l’instant.

L’art devient alors un prétexte à la rencontre, un sujet de discussion qui transcende les générations et les cultures. C’est un véritable outil d’urbanisme culturel, qui redonne vie et sens à nos espaces publics.

Pour conclure

Ce voyage à travers l’art numérique in situ m’a plus que jamais convaincue que l’art n’est pas figé. Il évolue, se réinvente, et trouve de nouvelles manières de résonner avec nos vies trépidantes.

L’éveil des sens en ville, cette fusion du tangible et du virtuel, n’est pas seulement une tendance passagère ; c’est une transformation profonde de notre rapport à la culture et à l’espace urbain.

J’espère que cet article vous a donné envie de lever les yeux de votre écran… pour mieux y plonger et découvrir les merveilles cachées de votre propre ville.

L’aventure artistique vous attend au coin de la rue !

Bon à savoir

1. Explorez les applications dédiées : Téléchargez des applications comme Artivive ou celles développées par les villes elles-mêmes pour découvrir les œuvres d’art numérique géolocalisées autour de vous. C’est votre meilleur guide !

2. Suivez les festivals d’art numérique : De nombreuses villes européennes organisent des festivals annuels dédiés à l’art numérique et lumineux. Ce sont des occasions parfaites pour vivre des expériences immersives et spectaculaires.

3. Restez connecté aux réseaux sociaux : Les artistes et les collectifs partagent souvent leurs nouvelles installations sur Instagram ou Twitter. C’est un excellent moyen de rester informé des dernières créations éphémères.

4. Recherchez les “parcours artistiques” urbains : Certaines villes proposent des itinéraires thématiques pour découvrir l’art urbain, incluant de plus en plus des œuvres numériques en réalité augmentée. Un plan peut transformer votre balade !

5. Osez interagir : L’art numérique in situ est souvent conçu pour être interactif. N’hésitez pas à toucher, bouger, ou utiliser votre téléphone comme indiqué. C’est en participant que l’expérience prend toute sa dimension.

Points clés à retenir

L’art numérique in situ transforme notre expérience urbaine en superposant le virtuel au réel via des technologies comme la réalité augmentée. Il démocratise l’accès à l’art, le rendant accessible à tous, partout, sans les barrières des galeries traditionnelles.

Les artistes sont les pionniers de cette ère, exploitant de nouveaux médiums et favorisant les collaborations transdisciplinaires. Des modèles économiques émergents, incluant les NFT, offrent de nouvelles voies de monétisation pour soutenir cette créativité.

Enfin, cet art éphémère crée des émotions intenses, favorise le lien social et réanime nos villes, enrichissant notre quotidien de découvertes inattendues.

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: 1: Comment concrètement s’immerger dans cet art numérique qui prend vie dans nos villes ? Faut-il être un expert en technologie pour en profiter pleinement ?
A1: Franchement, pas du tout ! Et c’est justement ça la beauté de la chose : la démocratisation de l’accès à l’art. J’étais moi-même un peu sceptique au début, pensant que ce serait compliqué. Mais quand j’ai testé cette application dont je parlais, celle qui m’a fait découvrir l’œuvre en réalité augmentée dans un parc parisien (d’ailleurs, c’était près des Buttes-Chaumont, un endroit que j’adore !), c’était d’une simplicité enfantine. Il suffit souvent d’un smartphone et d’une application dédiée, que vous trouverez facilement sur les stores d’applications habituels. Beaucoup de ces initiatives sont lancées par des collectifs d’artistes, des musées ou même des villes. Il y a des parcours artistiques géolocalisés qui vous guident pas à pas, comme une chasse au trésor culturelle. J’ai même vu des projets où il suffisait de scanner un Q

R: code sur un mur pour déclencher une animation. L’idée, c’est de rendre l’art accessible à tous, sans filtre, sans besoin de connaissances techniques avancées.
C’est vraiment une expérience à la portée de n’importe qui, il faut juste oser sortir son téléphone et regarder autour de soi d’une manière différente !
Q2: C’est fascinant, mais y a-t-il des revers à cette médaille ? Des limites ou des risques à cette fusion de l’art et de la technologie en espace public ?
A2: Excellente question, car comme pour toute révolution, il y a toujours un revers. La première chose qui me vient à l’esprit, c’est la “fracture numérique”.
Tout le monde n’a pas accès à un smartphone récent, à une connexion internet illimitée ou même la connaissance pour utiliser ces applications. L’art se démocratise, mais il ne doit pas créer de nouvelles barrières.
Ensuite, il y a la question de l’attention et de la sécurité : combien de fois ai-je vu des gens marcher dans la rue les yeux rivés sur leur écran, risquant l’accident ?
L’art doit nous connecter à notre environnement, pas nous en déconnecter. Il y a aussi le défi de la pérennité. Ces œuvres éphémères, c’est magnifique, mais comment les archiver, les préserver pour les générations futures si elles ne sont que numériques et liées à un espace-temps précis ?
Et puis, soyons honnêtes, le risque de la “gadgétisation” de l’art est réel. L’effet “wow” de la technologie ne doit pas masquer un manque de profondeur artistique.
Enfin, la vie privée et la collecte de données, car ces applications utilisent la géolocalisation. Ce sont des questions cruciales auxquelles il faut trouver des réponses pour que cette révolution soit vraiment un plus pour tous.
Q3: Au-delà de la réalité augmentée et de la géolocalisation, quelles sont les prochaines frontières que l’art pourrait franchir grâce à la technologie ?
On parle déjà d’IA et de NFT… A3: Ah, là, on touche à un terrain super excitant, c’est la partie que je trouve la plus intrigante ! J’ai déjà eu des conversations passionnantes avec des artistes à ce sujet.
L’intelligence artificielle, par exemple, pourrait créer des œuvres génératives qui évoluent en temps réel, s’adaptant à l’heure de la journée, au trafic, voire à l’humeur des passants détectée anonymement !
Imaginez une fresque numérique sur une façade qui change de couleurs ou de motifs selon le brouhaha de la rue… C’est déjà une réalité en germe. Quant aux NFT (jetons non fongibles), c’est une piste fascinante pour l’art in situ éphémère.
Ça permettrait de certifier la propriété, l’authenticité d’une œuvre qui n’existe que pendant quelques heures ou quelques jours dans l’espace public. L’artiste pourrait vendre cette “trace numérique” de son installation, ce qui apporte une valeur inédite et une traçabilité quasi-infaillible.
On pourrait aussi imaginer des œuvres participatives où la blockchain enregistre chaque interaction du public, créant une œuvre collective unique et immuable.
Et n’oublions pas la réalité virtuelle (VR) pour des expériences d’art public qui pourraient être vécues depuis chez soi, mais avec la sensation d’être “là”, ou même des installations haptiques qui vous feraient ressentir les vibrations d’une sculpture numérique.
Le champ des possibles est véritablement infini, c’est un âge d’or pour la créativité !